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Implication des familles dans les soins: une étude utilisant la méthode de choix discret

Si, quand, qui, comment ? Examen des préférences des parties prenantes concernant l’implication des familles dans les services d’intervention précoce pour la psychose

Il existe plusieurs avantages aux interventions familiales  et à la participation des familles dans le traitement des jeunes ayant une psychose. Malgré cela, il existe encore d’énormes lacunes dans la mise en œuvre de telles interventions, avec un taux de participation familiale au traitement en baisse au fil du temps, un faible recours aux interventions familiales et des familles qui se sentent exclues du traitement. Pour comprendre les raisons de cette tendance, nous devons étudier l’opinion des jeunes ayant une psychose, de leurs familles et des prestataires de services.  C’est ce que nous faisons avec cette étude.

 

Une méthode de choix discret étudie les choix des individus pour comprendre leurs préférences. Dans la vie, nous choisissons souvent entre des options qui varient en fonction des combinaisons de fonctionnalités. En fait, nous évaluons différentes combinaisons en fonction des fonctionnalités que nous préférons le plus et le moins.

Voici un exemple. Chaque option représente un type différent de nourriture pour le petit-déjeuner. Imaginez que vous deviez choisir UNE option qui reflète le mieux la nourriture que vous préférez pour le petit-déjeuner.

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Partenaires & collaborateurs

  • Clinique JAP, Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM), QC

  • Clinique Notre Dame des Victoires, CIUSSS de la Capitale Nationale, QC

  • Connec-T, Institut Universitaire en Santé Mentale de Montréal (IUSMM)

  • Programme de premier épisode de psychose, Hôpital général juif, QC

  • Programme de prévention et d'intervention précoce pour la psychose, Université McGill (PEPP-CUSM), QC

  • Programme de prévention et d'intervention précoce en psychose, Institut universitaire en santé mentale Douglas (PEPP-Montréal), QC

  • Aujourd'hui, pas demain (Today not tomorrow) (programme de premier épisode de psychose), Chatham-Kent, Ontario

Dans notre étude pancanadienne, nous demandons aux jeunes ayant une psychose, à des familles/aidants et aux prestataires de services (médecins, gestionnaires de cas, infirmières, pairs aidants) ayant de l'expérience avec les services d'intervention précoce pour la psychose de répondre à un sondage en ligne unique afin de comprendre leurs préférences (comment, à quelle fréquence, etc.) en matière d'implication des familles dans les services d'intervention précoce. Nous souhaitons également étudier si ces groupes de parties prenantes ont des préférences variées.

 

Notre étude aboutira à des recommandations quant à l’implication des familles dans les services d'intervention précoce pour la psychose. Puisqu’elles seront dérivées des points de vue de tous les groupes de parties prenantes choisissant entre des options concrètes, nos recommandations sont plus susceptibles d’être facilement mises en place et efficaces. N’est-ce pas excitant?!

 

Nous sommes en période de recrutement pour cette étude. Si vous souhaitez participer ou connaissez quelqu'un qui souhaiterait participer, veuillez nous envoyer un courriel à kevin.macdonald@douglas.mcgill.ca.

Bailleurs de fonds

L’Université McGill et le Centre de recherche du Douglas sont situés sur un territoire qui a longtemps servi de lieu de rencontre  et d’échange entre les peuples autochtones, y compris le territoire traditionnel des Kanien’kehá:ka, l’une des nations fondatrices de la Confédération Haudenosaunee. Nous respectons les liens continus avec le passé, le présent et l’avenir dans nos relations avec les peuples autochtones et autres à Tiohtià:ke/Montréal et dans tout le pays.

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